mercredi 10 août 2022

Les services des renseignements et d'espionnage marocains..,.


... la DGED de Mohammed Yassine El Mansouri en tête, traversent une sérieuse crise 


Le policier numéro 1 du Maroc, Ali Al Himma, survivant de l'ère Al Basri 


Le Fqih Boussouf a vite fait de se placer dans le staff "islamique" de la DGED


Ziani Nourredine, expulsé d'Espagne 



Echallaoui Salah qu'on ne présente plus


...La DGED (Direction générale des Études et de la Documentation ) est dirigée par un ami d'enfance du roi Mohammed VI


Avec El Himma et Nourredine Chraibi, Yassine Mohamed El Mansouri qui avait été choisi par le défunt roi Hassan II dès son enfance pour partager les classes primaires avec l'actuel monarque marocain, ne quitta jamais le prince héritièr dont il devint comme un frère. 


Quand Mohammed VI débarque en Belgique pour suivre en 1988, durant 8 mois, un stage relatif à la maîtrise des institutions européennes, il fut accueilli à l'aéroport de Zaventem, avec 5 de ses amis d'enfance, dont El Mansouri, par le président de la Commission européenne,  le socialiste français Jacques Delors.


Dès son accession au trône en 2000, le nouveau roi se tourna vers ses amis de prime enfance pour les placer à la tête de services très sensibles et névralgique. Chraibi, El Majidi....et l'actuel patron de la Dged. Sans oublier Fouad Ali Al Himma..


El Mansouri qui est réputé pour son silence et sa maîtrise des dossiers liés à la Sécurité extérieure de l'état marocain fut ainsi et sans hésitation placé en 2005, à la tête de la DJED qui dépend directement du roi.


El Mansouri qui d'après certaines sources proches du palais, ne dort que d'un œil, a tenu dès sa nomination à affecter des agents se son institution dans toutes les ambassades marocaines de par le monde.


C'est de sa part, une manière de contrôler pour le compte de Mohammed VI, les actions des ambassadeurs et de leur fournir directives et recommandations. 


Surtout pour ce qui concerne le dossier de la gestion en Europe, du temporel du culte islamique.


Tous les agents marocains qui ont eu récemment des ennuis avec les gouvernements européens dans le dossier Islam, agissaient pour le compte d'EL MANSOURI.


Ziani Noureddine qui fut expulsé d'Espagne en 2017 sous l'accusation d'espionnage pour le compte du Maroc, fut un élément précieux pour la DGED d'El Mansouri.


Echallaoui Salah, ex président de l' Exécutif de Belgique, avant d'être accusé par la Sûreté belge, comme espion travaillant pour le Maroc, est aussi un agent de cette structure tentaculaire que constitue la DGED d'EL MANSOURI.


Kaoutar Fal qui fut expulsée par la Belgique en 2020, après avoir purgé une peine de 3 mois dans le Centre fermé pour étrangers, pour espionnage en faveur du Maroc, roulait aussi pour la DGED.


https://drive.google.com/file/d/0B2bPNz-I-Pf7Y0pIam9vWm1kSTRzMHZvVUtZMVV0WWFlbmxr/view?usp=drivesdk&resourcekey=0-shzDQaitIxO_a9uWZn6aIw


 Soulignons que Kaoutar fut envoyée en Belgique par la DGED après avoir accusé le journaliste Tawfiq Bouaachrine de l'avoir "violée"


El Moussaoui Mohammed qui fut le président du CFCM (Conseil français du culte musulman) était aussi un fidèle agent d'El Mansouri


Avec ces coups durs ramassés par la DGED, cette institution sécuritaire traverse actuellement une crise de croissance. Surtout depuis que le bras droit d'El Mansouri, Mohamed Lahrech, qui gère l'ensemble des agents marocains responsables en Europe de la gestion du culte islamique, s'est écarté progressivement de sa mission pour s'intéresser au business en Europe.


En compagnie d'Abdellah Boussouf, secrétaire général du CCME et de son épouse, Belahrach est actuellement poursuivi par la justice espagnole dans une affaire de détournement de fonds publics.


Cette crise est sans doute liée à l'énorme élargissement des staffs agissant en Europe, pour le compte d'El Mansouri.


De fait, si au départ, le directeur de la DGED avait opté pour un travail liant son institution à un nombre collaborateurs efficaces et performants, l'option prise par le chef de la Dged d'ouvrir cette énorme structure à des centaines d'éléments très peu formés à des missions d'espionnage, comme Bazi Chaib, Cherradi Mohammed, Bachiri ....., Hammouch Lahcen, El Bouharrouti Hassan, Latifa Ait Baala, Tijjini Mohamed, et des agents travaillant au sein des consulats marocains à l'étranger et la liste est longue, fut une erreur commise par la DGED.


Une réforme de cette institution semble aujourd'hui indispensable si El Mansouri et le Palais royal désirent remettre cette importante structure d'espionnage sur les bons rails.


Cet élargissement de la DGED vers des éléments opportunistes français et européens qui cherchent surtout des gains financiers faciles, tels que Gilles Pergnaux contribue à donner de la DGED une image très peu sérieuse, comme le souligne le journaliste Ali Mrabet qui vit actuellement en Espagne

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