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...au Mondial 2026, l'édifice très coûteux bâti par Lekjaa, s'ecroulera comme un château de cartes
Pour un pays qui manque d'hôpitaux et se trouve en queue du peloton au niveau de l'enseignement...
Une première échéance d'importance attend cette sélection en décembre prochain. Celle de la Coupe d'Afrique des Nations pour laquelle, tant l'entraîneur Oualid Regragui que le président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF) Faouzi Lekjaa, jouent leur tête et leur avenir.
Sur le papier, le Maroc, pays organisateur de la phase finale de la CAN part ultra favori. N'empêche, les voies du football comme celles du Seigneur sont impénétrables et une déconvenue n'est pas à exclure.
Cela se jouera au Maroc dans des stades flambant neufs et le public sera très majoritairement marocain.
Un public qui considère depuis le début de cette année que la coupe d'Afrique ne quittera pas le plus beau pays du monde.
Sauf, ce qui fait le charme du ballon rond réside dans le fait que ce sport n'est pas une science exacte.
Et des surprises semblables à celles vécues par l'armada des joueurs marocains, très majoritairement constituée de jeunes natifs d'Europe, ne sont pas à exclure, comme ce fut le cas lors de la CAN précédente lorsque l'Afrique du Sud vainquit les Lions de l'Atlas.
En conséquence, rater la CAN 2025, pourrait sonner le glas de Oualid Regragui qui "entraînera" Lekjae dans sa chute
Le public, chauffée à blanc et guère animé par un véritable esprit sportif, ne pardonnera pas cet échec au ministre marocain du budget, porteur de la casquette de président de la FRFM.
Comme on le sait, les 40 millions de Marocains se transforment lors de ces compétitions en autant d'entraîneurs, de commentateurs, d'analystes, d'arbitres et de VAR.
Si la Coupe d'Afrique quitte le Maroc, les joueurs et le public vivront les 6 mois qui séparent cette compétition de celle qui se déroulera aux USA, Canada et au Mexique en juin prochain avec une certaine constipation.
Le Challenge minimal en juin et juillet 2026 est de parvenir au quart de finale de la coupe du monde.
Si cet objectif n'est pas atteint par les enfants des immigrés marocains, il est fort à parier que le public marocain se détournera largement des Lions de l'Atlas et s'intéressera de moins en moins à l'organisation de la Coupe du monde en 2030.
Les Marocains sont ainsi: on gagne ou on pleure! Le sport devient souvent plus important que le développement industriel et culturel du pays
Le "premier sportif du Maroc", piquera sans doute une crise et se demandera à quoi auront servi les milliards de dollars dilapidés en construction de stades "clés sur porte".
Des stades qui occasionnent des milliers d'expropriations arbitraires dans les quartiers populaires des grandes villes élues pour accueillir les quelques matchs de ce tournoi international.
Au moment où plus aucun pays ne se porte candidat à l'organisation du Mondial, (seule l'Arabie saoudite etait candidate pour 2034), le Maroc découvre un intérêt bizarre pour les magouilles du mafieu président de la FIFA qui sera probablement bientôt citoyen marocain.
Comme il dit proverbe la poule ponde et le coque a mal à son derrière un peut de patriotisme ne cherchez pas toujours la puce le Mexique a organisé la coupe du monde il était pauvre. Le Maroc avance ne mettez pas les bâtons dans les roues personnes n est parfait
RépondreSupprimerCertains personnes critiquent tout le monde sauf eux même.
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