mardi 7 février 2012

Collon, Galand ...comme vous avez pleuré sur le sort de Khaddafi, vous pleurerez demain...votre ami Assad


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Les amis de Bachar El Assad se cachent.
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Ils furent des amis de Saddam Hussein, de Kaddafi et maintiennent aujourd'hui, leur soutien à Bachar El Assad et à la dictature algérienne.

Ce sont les faux tiers mondistes comme Pierre Galand, Ahmed Bouda, Michel Collon, Fadi Ben Addi et d'autres.

Collon et Galand n'ont jamais fait leur autocritique concernant leur soutien inconditionnel au régime sanguinaire et génocidaire des Khmers Rouges Cambogiens et n'ont jamais cessé leur appui à la mafia moscovite.

Aujourd'hui, Michel Collon continue, sans gêne, d'éprouver une certaine nostalgie à l'égard du régime déchu de l'ex despote lybien.

Et s'efforce de justifier la boucherie en cours en Syrie, contre le peuple de ce pays.


Les autres préfèrent se taire mais n'en continuent pas moins, de manifester discrètement leur solidarité à l'égard du dictateur de Damas.

Leurs "arguments" sont fallacieux et mensongers. Ils tentent de justifier ce soutien par leur refus de l'appui qu'apportent les USA et les pays occidentaux, à l'opposition syrienne.

Cet appui, disent les amis de Assad, démontre clairement que les USA, qui ont toujours émis leur véto, à toutes les résolutions condamnant Israel, pour sa politique d'occupation en Palestine, dénote que la politique américaine et occidentale au Proche orient, est peu crédible.

Je leur dis: que les Américains soient animés par la seule recherche de leurs intérêts dans cette partie du monde, constitue une vérité des plus éclatantes et des plus élémentaires.

En revanche, vous, qui appuyez, inconditionnellement le régime fasciste du Baath syrien, en justifiant cet appui par le rejet de l'implication américaine en faveur de l'opposition syrienne, vous cachez mal votre hypocrisie et votre alignement criminels, sur la politique de ce régime sanguinaire.

Une chose est de refuser l'intervention américaine et occidentale dans ce conflit, une autre est de justifier, au nom de ce refus, le soutien à un pouvoir despotique, clanique et anti démocratique, comme celui de Bachar El Assad.

Un pouvoir qui, depuis 1973, s'accommode de l'occupation d'une grande partie de son territoire, le Golan en l'occurrence, par Israel, mais mobilise son armée, sa police et sa milice pour massacrer son peuple.

Un pouvoir qui a commis le massacre de Tall Azzaatar en 1975, à Beyrouth, contre les réfugiés palestiniens.

Un régime qui a quasi rasé la ville de Hama, il y a 20 ans

Un régime qui, en s'alliant à la théocratie obscurantiste et archaïque des Mollahs iraniens, favorise la mainmise, de ce système d'un autre âge, sur de larges étendues du monde arabe.


L'anti américanisme et l'opposition au modèle capitaliste occidental, aveugle ces communistes pro Moscou et pro Pékin attardés.

Cet aveuglement les conduit aujourd'hui, à se dresser contre la volonté des peuples arabes et à soutenir des régimes dont la longévité et le maintien ne le doivent qu'à la répression et aux boucheries sans nom, perpétrées contre leurs peuples.

En voyant ce que fait l'ophtalmo de Damas, de son peuple, beaucoup de ceux qui, jadis, s'étaient trompés sur la nature de ce bourreau, sont invités à revoir leurs attitudes.

Il n'est plus exclu de croire, aujourd'hui, que ce despote brutal et impitoyable, soit à l'origine de l'assassinat de Rafiq Hariri.



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