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En espérant qu'il n y aura pas d'incident notable, d'ici là...
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Quinze jours nous séparent du scrutin du 14 octobre prochain. L'énervement est plus que perceptible parmi les candidats bruxellois.
Fini les sorties en équipes de la part de candidats de la même liste et dans la même commune.
C'est de plus en plus le chacun pour soi qui prime. La recherche plus que minutieuse de ce qui reste de places visibles pour l'affichage, ( vitrines de maisons, pare brises de voitures et autres carreaux de cafés et autres commerces ) bat son plein.
L'arrachage des affiches des candidats des autres partis, afin de plaquer la sienne, devient de plus en plus fréquent.
En cela même l'arrachage d'affiches des candidats de la même liste, par d'autres prétendants.
La mise sur pied des réseaux de soutiens, petits comme grands, est d'ores et déjà lancée, en prévision du jour du vote.
Un réseau à mettre en position, le moment venu à tous les accès menant vers le bureaux de vote pour convaincre les éventuels hésitants et les toujours indécis parmi les électeurs.
A Molenbeek et à Saint Josse, certains commerçants, particulièrement bien situés, "loueraient" des vitrines à des candidats. En tout cas, c'est le bruit de plus en plus persistant et difficilement vérifiable.
Les sortants et autres élus cumulards, financièrement aisés, y vont de leur poche, pour "payer" les prestations de "militants dévoués" à la cause de leur idole, afin de coller, arracher et surcoller.
Ce qui est remarquable lors de cette campagne, réside dans le fait que dans les quartiers allochtones de Bruxelles, et pas que dans ces quartiers, très rares sont les candidats sortants qui "osent" montrer leur tronche publiquement se contentant d'envoyer des "prestataires" coller leurs affiches.
Seuls quelques candidats bien notés par la population locale osent arpenter les rues et les marchés publics.
C'est une sorte d'autocensure que s'imposent de très nombreux candidats, de peur de se voir interpellés par les électeurs, au sujet de leur bilan.
Seuls les nouveaux candidats prennent sur eux de fréquenter les lieux de rassemblements et n'hésitent pas à casser du sucre sur le dos de leurs collègues, élus et mandataires plus anciens.
Cela pour se positionner utilement face aux critiques de plus en plus acerbes du jeune public des quartiers populaires
Sur la toile aussi, c'est "la guerre" entre certains candidats et même certaines listes.
Certains promettent de sortir en dernière ligne droite, des révélations croustillantes sur leurs adversaires.
.Pourvu que.....
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Quand je regarde votre article, je pense directement à un échevin CDH à Molenbeek MDR
RépondreSupprimerOn voit que le courage vous étouffe, même "anonyme" vous n'osez pas appeler Un chat, un chat
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