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...Comme on dit chez "NOUS": Il faut le "Rabbi" (il faut le dresser en permanence)
Article de Yabiladi:
Depuis les attaques de Bruxelles il y a deux jours, c’est la mobilisation sociale qui a marqué les esprits. Malgré les différences, le sentiment d'unité nationale a rassuré.
Beaucoup d’observateurs sont surpris. C’est un élan nouveau », explique Khalil Zeguendi rédacteur en chef du Maroxellois, un site d’information dédié à la communauté marocaine à Bruxelles.
L’homme des médias souligne cependant « la peur » qui se repend au sein de la société.
« C’est la peur de ce qui peut arriver demain, peur qu’un autre attentat se produise. Cela peut pousser certains à tenir des discours stigmatisants », reconnait-il, estimant toutefois que le racisme ou l’islamophobie n’en serait pas le motif.
De plus, M. Zeguendi considère qu’il y a des « signaux positifs » de la part du gouvernement qui contribuent à apaiser la situation.
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Chez Ismail Saidi, du jour au lendemain: Le "Nous" a disparu de son lexique:
Voilà ce qu'il déclare à Yabiladi:
Pour sa part, le réalisateur et scénariste Belgo-marocain, Ismaël Saïdi, ne voit que cette unité « pour l’instant ».
« La communion à laquelle on assiste à la place de la Bourse, c’est du jamais vu ! », déclare-t-il à Yabiladi.
« On n’a jamais vu un pareil mélange. Hier, il y avait des drapeaux marocains, algériens, tunisiens, belges,… », ajoute le comédien qui jouait sa pièce de théâtre « Djihad » à Bruxelles la veille des attaques.
« Je suis très touché. Je suis né là [à Maelbeek], j’ai grandi là, je prends le métro tous les jours », confie l’artiste qui a émue la Toile hier, mercredi, en répondant –sur Facebook- à tous ceux qui demandent pourquoi les musulmans ne descendent pas dans rue.
Selon M. Saïdi, ils sont tout simplement occupés à intervenir à chaque niveau dans la gestion post-attentat (Cf. encadré)
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Commentaire de Bruxellois surement
Comme c'est bizarre: pas plus tard qu'hier, les Musulmans, selon Saidi, étaient en train de conduire les bus, d'accueillir les blessés dans les hôpitaux, de recevoir dans les réceptions des hôtels...
Et tout à coup, il découvre qu'"ils sont en train d'intervenir à chaque niveau dans la gestion post-attentat"
Plus caméléon que lui, tu pars en Syrie...
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