samedi 16 avril 2016

Milquet a commis une "escroquerie" plus importante que celle liée à ses "attachés ...

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...fantômes du cabinet 


Milquet en jihadiste de Guantanamo


En décidant toute seule, sans avis d'un jury ou de spécialistes es "radicalisation" que la pièce médiocre Djihad, constituait la réponse la plus appropriée à la radicalisation des jeunes, 

En finançant cette pièce et en lui ouvrant arbitrairement et au détriment de tout ce qui se produit en Communauté française en matière de théâtre, les classes des écoles de la FWB,

Milquet a enfreint la sacro sainte règle de la concurrence loyale entre les troupes théâtrales de cette Fédération. 

Tout artiste qui se respecte de même que tout journaliste versé dans la critique de l'art et dans l'observation du fonctionnement des institutions, sait qu'une procédure très stricte régit l'octroi des aides aux troupes théâtrales en Communauté française

Et à ma connaissance aucune troupe n'a à ce jour bénéficié d'un  fait du prince et d'un traitement de faveur comme le fut la pièce Djihad de la part de Milquet

Elle lui a été conseillée par une attachée "arabe" de son cabinet, ami des producteurs de la pièce, elle l'a vue et en est tombée amoureuse du premier coup 

Et sans avis de l'administration, du comité de sélection ou d'autres filtres institutionnels mis en place par le parlement de la Communauté, Milquet décide de passer à la caisse - comme si l'argent déboursé sortait de son propre coffre fort - pour imposer à tous cette production prétendument anti radicalisation

Les aspects liés à l'art furent balayés d'un revers de la main, dès lors que Milquet pouvait annoncer dans le brouhaha politique autour du jihad en Syrie, qu'elle pouvait être, comme toujours, la plus fonceuse et la plus originale  

Ainsi, les portes des écoles, de par la seule volonté de Milquet,  furent ouvertes et les élèves et étudiants réquisitionnés pour assister à une pièce où un humour premier et guère intelligent fut servi à ce public.

Et de bien entendu, pour chaque prestation, un montant fixé fut payé à cette troupe. Ceci sans compter les frais inhérents à la mise à disposition des salles d'écoles, des consommations de chauffage et d'électricité, de transport de matériel (location de chaises)...

Tout fut payé par Milquet, autrement dit par vous et moi, qui versons nos taxes et impôts à une institution non élue qu'est la Communauté française de Belgique.

Ce qui m'a étonné dans cette affaire fut le silence des artistes de cette Communauté; artistes qui tirent le diable par la queue et qui pour nombre d'entre eux, doivent louer des salles, transporter leur propre matériel et attendre parfois que des subsides leur soient versées après introductions de justificatifs de dépenses et en plusieurs tranches.

Milquet dans cette affaire a agi comme agissaient en son temps les seigneurs qui disposaient des avoirs de leurs sujets et a oublié qu'elle avait des règles à respecter.

Elle est comme cela Milquet. Dans l'affaire des collaborateurs fantômes, ce fut cette même logique du propriétaire des lieux qui présida au recrutement de ces colleurs d'affiches et autres propagandistes électoraux... 





   

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