.
qui verrouille hermétiquement ses frontières aériennes et maritimes.
Château du monarque de droit divin, Betz, près de Paris
Château acquis par M6 à Paris en 2020 pour la bagatelle de 100 millions d'€
...
Quant aux frontières avec ses voisins Mauritanien et Algérien, la géographie et le conflit du Sahara occidental se chargent de les boucler.
Imaginez un peuple enfermé à l'intérieur de frontières entourant son pays sans espoir de pouvoir les franchir pour aller voir ce qui se passe ailleurs.
Au Nord, l'Espagne est distante de quelques 12 à 14 kilomètres des villes de Tanger et Ceuta. Mais aucun déplacement à partir du Maroc n'est autorisé
La Méditerranée se dresse comme un obstacle infranchissable pour les Marocains qui souhaitent faire un saut en direction d'Algeciras. Et seuls les desperados tant marocains que subshariens s'y risquent à bord d'embarcations de fortune.
A l'est, la seule frontière avec l'Algérie, celle de 2 mulets (Zouj Bghal) est verrouillée depuis 1994.
Récemment, le pouvoir algérien a fermé son espace aérien aux avions provenant du Maroc...
Ce qui rend les déplacements des Marocains vers la Tunisie et la Lybie très compliqués.
A l'ouest, le très houleux océan Atlantique bloque toute tentative de sortie des Marocains vers des pays situés au delà de cet océan.
Seuls quelques jeunes suicidaires se dirigent vers le port de Dakhla, situé au Sahara occidental pour tenter de rejoindre les îles espagnoles situées de l'autre côté de ce territoire.
Quant au sud, la guerre larvée qui oppose le Maroc au F.Polisario rend toute tentative de passage vers la Mauritanie de l'ordre de l'impossible.
Depuis le début de la pandémie du Covid 19, il ne se passe pas une semaine sans que les autorités marocaines procèdent aux fermetures tant maritimes qu'aériennes, empêchant ainsi touristes et résidents Marocains à l'étranger de rallier le pays.
Ces fermetures qui sont appliquées séance tenante et dès la décision arrêtée, énervent tant les Marocains résidant à l'étranger que les Marocains sortis de leur pays et désirant y retourner pour vaquer à leurs occupations.
L'activité économique liée au tourisme est exsangue et des acteurs émargenant à ce secteur vital pour l'économie, mettent les uns après les autres la clé sous le paillasson.
A telle enseigne que de plus en plus de bazaris se voient à Marrakech, Agadir ou Tanger, contraints de recourir à la liquidation pour une bouchée de pain de leur commerce ou a s'adonner à leur corps défendant, à la mendicité.
Sans les aides transférées à leurs familles par les Marocains du monde, la situation serait explosive dans un pays où le monarque de droit divin vend toutes les richesses du pays à l'étranger, or, phosphate, manganèse, richesses halieutiques etc....pour acquérir des châteaux et autres palais en France et placer, lui et ses frères et sœurs des milliards dans des paradis fiscaux.
Et quand le gouvernement aux ordres de Amir Al Mouminine accuse des déficits colossaux, il est autorisé par le roi a contracter des emprunts auprès d'institutions financières internationales.
A charge du peuple marocain de se saigner à blanc pour les remboursements des intérêts de ces emprunts.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire