mercredi 27 décembre 2023

Affaire du vaste réseau de trafic ...

 .

...de cocaïne au Maroc



Latifa Raafat





Le cas de la chanteuse royale, Latifa Raafat


Le jeune journaliste par qui le scandale a éclaté 

Après que son nom fut abondamment cité dans les journaux marocains comme égérie de Benbrahim alias MALI, le plus grand trafiquant de cocaïne que le royaume ait connu à ce jour, Latifa Raafat qui fut l'épouse de ce dernier a cru nécessaire de communiquer via une vidéo devenue virale depuis qu'elle a été  diffusée hier sur YouTube.

Par cet enregistrement, très court d'ailleurs, la chanteuse, qui était une habituée du palais royal, déclare à ceux qu'elle cherche à convaincre de sa bonne foi, que Mohammed VI fut mêlé "indirectement" à son mariage avec l'Escobar du Sahara.

C'est ce sobriquet dont fut affublé le trafiquant de cocaïne,  devenu promptement et à la vitesse grand V, le mari de la belle Latifa.

En effet, la chanteuse dit qu'après avoir rencontré l'Escobar du Sahara sur une période de trois semaines, elle en fut éprise à en mourir.

Sur le coup, Latifa "avoue" n'avoir pas relevé quoi que ce fut de louche dans le comportement de celui qu'elle décrit comme un homme d'affaires fortuné sans plus.




Or, dit - elle, à peine 4 mois après son union avec MALI, elle découvre que celui ci était très mêlé, voire même plus, aux trafics transfrontaliers de la cocaïne venant du Mali et transitant par la Mauritanie.

Entre-temps Mali avait offert dans le quartier huppé de Rabat, une luxeuse villa à celle qui n'a rien vu, rien entendu et rien dit

Avouez, qu'en raison des 3 semaines durant lesquelles elle avait rencontré Mali et des quelques mois de son mariage avec Escobar du Sahara, Latifa mérite amplement le pseudo Speedy Latifa.

Son directeur de parcours qui l'avait découverte, à peine éclose, du temps où, tirant le diable par la queue, elle se produisait dans des festivals locaux pour gagner de quoi vivre, rapporte que son ex protégée qu'il avait gérée durant près de six ans avant de la propulser au devant de la scène artistique (festivals nec plus ultra dont Mawazine, émissions télévisuelles de variétés,  concerts à l'étranger...), l'avait fait souffrir lors de son apprentissage des ficelles du métier, mais que dès lors sa renommée faite et assurée,  elle l'a quitté, le grugeant au passage d'un montant de 10 millions de dirhams (1 million d'Euros).



Le même directeur des affaires de la belle Latifa déclare à visage découvert que la chanteuse savait tout des activités criminelles de celui qui allait devenir son époux.

L'histoire de Latifa Raafat fait penser - avec la culture en moins - à celles de la Putain de la République Christine Deviers Joncour qui fut la maîtresse choyée de Roland Dumas, ministre des affaires étrangères de Mitterand.

Celle là même qui, tout en prenant son pied dans des lits douillets, collée à Dumas, vendit de très sensibles informations venant de son amoureux fou, à la société Elf, de même que des renseignements de premier ordre ayant servi à la vente à Taïwan, de frégates militaires françaises

Ses commissions furent en conséquence.

Ceux qui ont vu le prestigieux film Casablanca, pourraient comparer Latifa à Ingrid Bergman, toujours la culture en moins. Sauf que le trafiquant Mali est loin de valoir l'orteil de Humphrey Bogart.

Au Maroc, belles filles et femmes séduisantes sont utilisées par l'état comme pièges pour les cheiks du Golfe ou comme tombeuses d'opposants au régime, comme ce fut le cas dans le traquenard tendu au journaliste Toufiq Bouachrine qui croupit présentement en prison.

https://bruxellois-surement.blogspot.com/2018/07/kaoutar-fal-est-elle-une-espionne.html?m=1

Les mauvaises langues rapportent que Latifa, incapable de féconder, s'était accaparée en 2018, du sperme qu'une autre femme avait déposé chez un gynécologue casablancais, pour une croissance hormonale destinée à donner après injection vaginale, des chances d'une grossesse

Latifa s'en défend, jurant tous ses dieux que la petite Almass (diamant pour ne pas changer) a bien jailli de ses entrailles. L'affaire est toujours entre les mains de la justice.

Cela fait trop pour une seule femme, quand bien même s'appellerait elle Mata hari. 



Plagiat  et mensonges 


2 millions et demi de dirhams pour le vol d'une chanson 

https://www.bladi.net/latifa-raafat-justice-amende,76274.html


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https://www.bladi.net/latifa-raafat-maroc-soir.html

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