Les associations marocaines : Parasitaires et intéressées
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Si quelqu'un dans la salle connait une association marocaine de Belgique qui a, directement ou indirectement, été à l'origine de la réussite d'un sportif, d'un académicien ou d'un grand commerçant, qu'il lève le doigt.
Les seules réussites intervenues au sein de cette communauté sont à mettre au profit des individus eux mêmes, de leurs familles ou de personnes rencontrées au gré du hasard de la vie.
Et sûrement pas à l'actif des associations sociales, culturelles, sportives ou d'une toute autre nature.
Car pour booster quelqu'un, l'aider à sortir du lot et le propulser vers la réussite, il est nécessaire que les promoteurs de cette démarche aient, eux aussi goûté aux fruits de la réussite et du succès.
A de rares exceptions, c'est loin d'être le cas chez la majeure partie de ceux qui s'autoproclament dirigeants, à vie, des associations marocaines, agissant en milieu immigré.
La plupart des structures associatives, les mosquées n'en font point exception, sont créées pour servir les intérêts de ceux qui les mettent en place.
Et la majeure partie de ceux qui s'intéressent peu ou prou, au fonctionnement de ces associations, savent que ceux qui sont à l'origine de leur création, le font , soit pour se profiler en vue de prouver qu'ils existent - les associatifs marocains ont un sacré besoin de reconnaissance qui les rend jaloux et franchement "assassins" les uns vis à vis des autres -, soit pour glaner de ci de là, quelques subsides destinés à entretenir la dépendance vis à vis des partis politiques, soit encore pour signaler, en faisant du bruit, qu'ils sont candidats à figurer sur les listes des partis politiques dits " progressistes "ou pour cligner de l'oeil vers le Maroc en organisant des activités "zaama" patriotiques" destinées à donner le change aux officiels marocains en poste en Belgique ou à ceux qui, de temps en temps, viennent de Rabat, pour montrer, aux membres de ces associations, qu'ils les tiennent en haute estime.
Comme si ces officiels étaient les derniers des demeurés, alors que leur mission principale consiste surtout à encourager les membres de la communauté à continuer à déverser les milliards de dirhams dans les caisses de l'état d'origine.
La dernière des idées sortie tout droit de l'imagination d'un " cadre associatif " marocain n'est autre que la création à Charleroi ( Couillet pour être plus précis ), d'un centre de formation des imams de Belgique pour lequel, ce haut cadre, anciennement fonctionnaire consulaire à Bruxelles, a crée une ASBL dont les seuls associés sont ses enfants, sa femme et un de ses cousins (les stututs sont disponible auprès de ce blog)
Pour fonder ce centre, ledit "cadre" a demandé et obtenu du Maroc, plusieurs centaines de milliers d'Euros, investis en pure perte dans ce centre, devenu depuis lors, une maison de rapport, habitée notamment par les membres de la famille de ce "grand militant" associatif.
Tout le monde est au courant de cette affaire ( nous constituons un dossier à paraître prochainement dans le Maroxellois, à ce sujet ). A telle enseigne que le fondateur de ce centre qui a coûté la peau des fesses au contribuable marocain, a été débarqué, en toute discrétion, de l'important poste qu'il occupait au sein du Conseil européen des Oulamas marocains, dont le siège se situe dans un grand immeuble de l'avenue Louise.
Le CCME de Driss El Yazami et d'Abdallah Boussouf (qui connait bien cette affaire) ainsi que tous les officiels marocains d'ici et de là bas, sont au courant de ce désastre, mais se taisent pour des raisons que j'ignore...encore.
Nous reviendrons dans un prochain article à ce conseil des oulamas pour expliquer le rôle obscur et la constitution encore plus obscure de ce bidule inerte, sans vie et totalement inutile, qui draine des millions d'Euros sortis droit de la poche du contribuable marocain.
L'on se souvient également de la saga Kissi Benjelloun, le boucher de Onkelinckx pour les intimes et ami de Charles Picqué, lequel Kissi avait fait l'objet de nombreuses investigations pour le centre de culte qu'il dirige à Saint Gilles ( Al Mouhssinine - Les bienfaiteurs ).
D'importantes collectes d'argent étaient organisées dans cette mosquée, avec pour finalité déclarée, l'aide aux Palestiniens de Gaza.
Sauf qu'aucune trace écrite de ces mouvements n'était visible pour les enquêteurs s'étant intéressés aux activités de ce centre.
Ces faits, et ils sont loin d'être exhaustifs, pour expliciter la fonction et les agissements d'une très grande partie des associations socio-culturelles ou religieuses oeuvrant prétendument pour l'émancipation des marocains de Belgique.
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