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Le ministre du culte laïc, Pierre Galand enfreint l'article 268 de notre code pénal
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Voici ce que dit l'article en question :
Art. 268. Seront punis d'un emprisonnement de huit jours à trois mois et d'une amende de vingt-six [euros] à cinq cents [euros], les ministres d'un culte qui, dans l'exercice de leur ministère, par des discours prononcés en assemblée publique, auront directement attaqué le gouvernement, une loi, un arrêté royal ou tout autre acte de l'autorité publique.
La plupart de nos concitoyens ne le savent pas, mais Pierre Galand, au même titre que les aumôniers juifs, musulmans ou protestants, est un ministre de culte, et à ce titre il se doit d'observer, strictement les dispositions légales, en la matière. Et notamment, celles de l'article 268, cité ci dessus.
Les responsables du CAL se sont battu pendant des années, pour pouvoir faire émarger leur organisation, à la reconnaissance des pouvoirs publics, avec un statut identique à celui d'organe chef de culte.
Ils l'ont fait parce qu'ils ont compris tout l'intérêt qu'il y avait à obtenir les subsides et autres subventions, alloués chaque année, aux organes chef de cultes reconnus.
La revendication du CAL a donc été rencontrée par les pouvoirs publics compétents.
Ainsi,
La loi du 21 juin 2002, place le CAL dans le même champ que celui reconnu aux autres organes chef de culte, musulman, juif, protestant, anglican. Et partant, soumet cet organisme laïque aux mêmes conditions auxquelles sont soumis les autres organes chef de culte.
http://www.ejustice.just.fgov.be/mopdf/2002/10/22_1.pdf
Ceci étant clarifié, il s'impose à Pierre Galand et aux autres ministres du "culte" laïque, de se conformer aux prescrits légaux qui régissent les statuts et les conditions devant être observés par TOUS les ministres de culte, tant confessionnels que laïcs.
Que constate t on dans la réalité du fonctionnement de l'organe chef de "culte" laïc, le CAL et de son président Pierre Galand ?
De manière répétée et récurrente, Galand se donne la liberté, dans l'exercice de ses fonctions de ministre du culte laïc, de critiquer ou d'attaquer les politiques publiques belges.
P. Galand est président du CA du Centre d'Action Laïque et est donc un administrateur bénévole. Donc pas reconnu comme ministre de culte puisqu'il n'a pas le statut juridique d'un employé salarié (Délégué laïque cf. l'article de loi que vous citez).
RépondreSupprimerEt c'est laïque, pas laïc.
Arrêtons de jouer sur les termes. Pierre Galand est président du CAL. Le CAL est reconnu par les Pouvoirs publics, au même titre que l'EMB ou le Consistoire juif, comme le représentant de la Laïcité organisée et subsidiée.
RépondreSupprimerBénévole ,ou non, Pierre Galand, au même titre que le président de l'EMB Semsettin Ugurlu, est soumis aux mêmes obligations de réserves et tombe sous le coup de l'article 268 du code pénal, en cas de manquement aux règles liées à son statut.
Pierre Galand n'arrête pas d'enfreindre cette règle, en attaquant les décisions et autres positions du gouvernement belge au niveau de sa politique étrangère ou de sa gestion du pays.
D'autre part, Pierre Galand est un type écorché vif puisqu'au lieu de promouvoir un dialogue constructif avec les autres cultes, il passe son temps ,à attaaquer les représentants de ces cultes ( Léonard, UGURLU...). Il est de bonne guerre que pour exister de s'attaquer à ceux que vous estimez comme des concurrents. Mais le style sauvage et insultant utilisé par Galand est loin de contribuer à un dialogue constructif entre les différents cultes et philosophies.
C'est aussi un grand ami des généraux algériens Ammari et Nezzar, connus pour leurs activités maffieux et leur manipulation des groupes terroristes islamistes algériens.
Que répondez vous face au silence de Pierre Gland, quant à son refus de faire son autocritique pour son soutien actif à Pol Pot et aux Khmers rouges cambodgiens ?
Ceci au moment où il n'hésite pas à dénoncer le génocide rwandais ( géométrie variable dans la dénonciation )
Pierre Galand n'a pas remarqué que le mur de Berlin est tombé depuis 89.
Tous ceux qui cherchent à le protéger devront rendre des comptes à l'histoire