..Ce parti est devenu une formation archaïque, dépassée et constitue un frein à l'émancipation de la Wallonie et de Bruxelles
Tous les observateurs politiques belges et même au delà savent que l'indépendance de la Flandre est de plus en plus une question de temps.
D'autant que les résultats du scrutin du 26 mai dernier en Flandre révèlent que la majorité des citoyens du Nord du pays adhérent à l'option indépendantiste.
Depuis de très nombreuses années, cette aspiration flamande n'a fait que progresser pour se retrouver aujourd'hui prise en charge par des partis extrémistes.
Cordon sanitaire ou pas, les formations flamandes avec des tempos différents, ne lâcheront pas le morceau et feront tout pour sortir de la Belgique.
Pendant ce temps, le désastre qu'a causé le PS en Wallonie durant trente ans de magouilles, d'imprevoyance et d'absence de toute vision moderniste, empêche aujourd'hui les francophones d'éviter la banqueroute de la région wallonne et de Bruxelles par la même occasion en cas de la scission du pays.
En donnant encore au PS la première position dans leur région, les Wallons viennent de confirmer leur tendance au suicide
Mais, bien que limité, le recul du PS tant en Wallonie qu'à Bruxelles, est assez significatif d'une prise de conscience des Wallons et des Bruxellois de la vacuité du discours du parti de Di Rupo et de sa stratégie foireuse.
A Bruxelles, le PS perd 23.225 électeurs et 6 sièges de députés. Il passe de 108.755 à 85.530 voix.
C'est dire que nonobstant la présence massive de Musulmans sur ses listes, nombre de jeunes nouveaux belges ont préféré apporter leur soutien au PTB et à Écolo.
Les partis flamands sont décidés à extraire la Flandre du royaume de Belgique. Reste à savoir si les formations francophones sont, elles, prêtes à rompre avec la gestion catastrophique du PS.
Quant à notre roi, en recevant les Nazis du Vlaamse Belang, il vient d'indiquer que seul l'intéresse le sauvetage de sa couronne.
La poignée de main de la honte
Le signal de lâcheté qu'il vient d'envoyer à notre peuple et en particulier à la jeunesse est néfaste.
Car il banalise une formation raciste et antisémite.
Ce faisant il fait fi de tous les appels à la vigilance.
Ce sera Philippe de Belgique qui le premier, aura brisé le cordon sanitaire.
Comme feu son grand père qui avait fui la Belgique pendant l'occupation nazie, notre roi vient de montrer que les Saxe Coburg n'ont pas de "C.....au C.....)
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